Il ne faut jamais dire au point où j'en suis, ça ne veut plus la peline.

Il est toujours temps de dire stop à tous mes péchés.

Il est toujours temps jusqu'à la dernière seconde. IL N'EST JAMAIS TROP TARD.

Aujourd'hui, je m'arrête de pécher.

Merci pour ton aide, Seigneur, car aujourd'hui, je suis ultra débordée. Je suis noyée sous le linge sale de mon fils, je dois aller sans faute au village pour faire mes courses, et je dois bien sûr préparer le repass. Et demain, comme je suis absente, je préparerai en plus le repas cet après-midi.

Seigneur, j'ai des agendas de ministre mais je sais que tu vas m'aider. Merci de tout coeur.

Christiane

Je vois que certains jeunes s'interrogent au sujet de la communion sur la main ou sur la langue. Moi je dirai que peu importe la main ou la langue, l'important c'est le cœur. Si le Christ se donne à nous, c'est pour nous unir à lui et à tous nos frères. En allant communier, nous devenons le Corps du Christ. Ce n'est plus le moment de se critiquer les uns les autres. Sinon, nous péchons contre le Christ lui-même.

C'est vrai que le pape donne toujours la communion sur la langue à des gens qui sont à genoux. S'il agit ainsi, c'est pour éviter les dérives causées par les grandes foules. D'autre part, il a appris que certains gardaient l'hostie en souvenir. Mais il n'a jamais dit qu'il était contre la communion à la main.

Et puis, n'oublions pas que le Corps du Christ, c'est aussi le pauvre jeté à la rue et à la boue.

Aujourd'hui, je remercie le Seigneur car je me sens mieux et ma fille Delphine est à l'abri à Marseille.

Seigneur, j'écouterai RADIO ESPERANCE dans la journée et je n'oublierai pas de répondre aux messages chrétiens des sites catholiques.

Que le Seigneur vous garde tout au long du jour et souvenons-nous qu'il sera avec nous jusqu'à la fin des temps.

BONNE JOURNEE A TOUS !

Christiane

mercredi 04 avril 2012

St Isidore, évêque et docteur de l'Eglise († 636)

Les autres Saints du jour...

Saint Isidore
Evêque et docteur de l'Eglise
(c. 560-636)

         L'Espagne s'honore d'avoir donné le jour à une famille de saints avec les frères Léandre, Fulgence, Isidore et leur sœur Florentine. Léandre l'aîné, qui devint évêque de Séville (vers 580), éleva son jeune frère Isidore, né entre 560 et 570.

        A la mort de Léandre (601), Isidore lui succéda et il continua avec éclat l'organisation de l'Eglise d'Espagne dans le royaume wisigothique, que son frère avait entreprise. Léandre avait tenu à Tolède un important concile en 586 ; Isidore prolongea son action en de nombreux synodes et spécialement dans le célèbre IVème Concile de Tolède (633).

        Durant un épiscopat de trente-cinq années, il s'adonna à la formation du peuple chrétien non seulement par la prédication, mais par l'instruction des jeunes. Il fonda pour eux un collège dans lequel il voulut enseigner lui-même. C'était là une préoccupation tout à fait en avance sur son temps. Elle est en partie à l'origine de la production littéraire d'Isidore, qui est une sorte d'inventaire de l'ensemble des connaissances humaines, auquel l'auteur fournit un apport original.

        Isidore mourut à Séville en 636.

Tous les soirs, je me débrouille avec mes soucis, mes erreurs, mes ennuis, mes problèmes. Je le fais dans mon lit, sans me défouler sur mes proches.
Je les analyse succinctement pour mieux comprendre comment je fonctionne, mais je ne m'y appesantis pas.

Si ces tracas sont trop lourds, je les donne à Dieu qui les retournera en bien.
Portez-vous bien.
Christiane